Meeting d’ Angers: Daniel Bertin y était.
Meeting à Angers le 1er Mars…
Le Président du MODEM 71 était présent !
La
sarkhollandisation dénoncée par F. BAYROU et relayée par les médias poursuit
ses ravages…
Quel relais a obtenu le meeting de F. BAYROU à
Angers ?
Et pourtant, ce Jeudi 1er Mars, l’auditorium de 1500 places du centre des
congrès d’Angers était plein à craquer et 500 personnes au moins n’avaient pu
pénétrer pour des raisons de sécurité.
J’étais présent pour écouter
notre candidat défendant son indépendance et son projet, proclamant l’urgence
d’un rassemblement républicain pour contrer la démagogie, les surenchères du
début de campagne et surtout pour redresser notre pays.
« Pour notre part, face au
risque du pire, nous porterons la vérité, celle de la nécessité du rééquilibrage
des finances publiques sans laquelle nous transmettrons nos dettes à nos
enfants. Et, ceux qui sont capables de trahir leur enfant en les couvrant de
dettes ne sont pas dignes de la responsabilité à laquelle ils prétendent »,
a-t-il lancé avant de défendre à nouveau ses priorités « Produire »,
« Instruire » et « moraliser la vie publique ».
Il a dénoncé la
« surenchère » de ses concurrents qu’il juge « irresponsable et
dangereuse », appelant les citoyens lassés à choisir la voie du pragmatisme
et « des vrais sujets ». « La campagne électorale telle qu’elle se
déroule trahit l’intérêt véritable des Français. On ne parle plus de la dette, du chômage, du pouvoir d’achat, mais l’on
fait des promesses à coûts de milliards d’euros, sans en avoir les
moyens », a expliqué François Bayrou en citant les noms de Nicolas Sarkozy
et de François Hollande.
« Leurs deux partis sont co-responsables de la situation actuelle et ils
sont en train de nous proposer son aggravation », a dénoncé le candidat
centriste en parlant d’une « campagne irresponsable et dangereuse », de
« non-assistance à pays en danger ».
Il a fustigé le président
candidat Sarkozy et ses allusions perpétuelles sur le travail des enseignants,
qui seraient des fainéants ! Il a dit combien l’école, reléguée
progressivement et depuis 15 ans dans les profondeurs des classements des pays
de l’OCDE (avant dernier dans la lutte contre les inégalités scolaires, au 24e
rang pour la maîtrise de la langue et le calcul…), était le socle républicain
du redressement de la France. Il en a profité pour répéter que les moyens
n’étaient pas les seules solutions, mais que des mesures qualitatives
s’imposaient : rythmes scolaires, soutien à l’école primaire, 50% du temps
à l’école consacrés à l’apprentissage de la langue, généralisation des méthodes
qui réussissent…
Il a fustigé le candidat PS et
ses improvisations quotidiennes dont la dernière en date propose une véritable
mesure confiscatoire au niveau des hauts revenus (75% d’imposition sur les
revenus supérieurs à 1 million d’euros annuel auxquels il faut rajouter les 8%
de CSG …) Il a dénoncé une proposition
« démagogique », relevant de « l’amateurisme »: « Si on n’a
plus la possibilité de faire fortune en France, les riches de demain seront les
fils des riches d’aujourd’hui ».
Un moment fort que je voulais
partager avec vous.
Daniel BERTIN, président MODEM 71